Résultat de cette période particulière, j’ai développé la médiation en extérieur,
non-confinée, dans la nature.
Un cercle de deux mètres de diamètre est posé à même le sol,
quatre pliants de camping sont disposés autour.
Volontairement peu confortables, ces sièges minimalistes
invitent à une posture plus droite, une présence plus affûtée.
L’espace ouvert libère, il amène de la distance et de la respiration,
il permet une relativisation meilleure, un regard qui se perd,
sans entamer la concentration requise.
Sondées en fin de séance, les parties apprécient ce changement de cadre.